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Quelle nouvelle série devriez-vous binge maintenant? Quel film regarder si vous ne souhaitez er qu’un peu de temps devant l’écran le week-end ? Y a-t-il des trésors chez Netflix, Amazon and Co. que vous avez négligés ? Et qu’est-ce qui vaut la peine dans les médiathèques des radiodiffuseurs publics ? Ici, vous pouvez découvrir ce qui vaut la peine d’être regardé en ce moment.
De notre équipe éditoriale
08/04/2022 – 15:19
Tant de services de Streaming, tant de médiathèques, tant de séries, de films, de documentaires – et si peu de temps. Et parce que le week-end est bien trop précieux pour être gâché devant la télévision avec un mauvais programme, on vous dit ici ce qui vaut particulièrement la peine d’être regardé en ce moment.
► Quand « Stranger Things » va-t-il enfin continuer ? 1e3v1a
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3 saisons disponibles sur Netflix
Arrêter! Avant que vous ne soyez trop excité : la quatrième saison de la sensationnelle série de fantasy-horreur-science-fiction « Stranger Things » ne commence pas avant le 27 mai. Mais si, comme nous, vous ne pouvez pas attendre la suite du hit de Netflix, vous avez probablement déjà encerclé la date en rouge sur votre calendrier. Cependant, il est temps de commencer le programme d’échauffement. Par exemple, pour vous préparer, vous pouvez relire « It » de Stephen King, écouter les premiers albums de Scorpions et regarder des films comme « The Goonies », « ET » ou « Stand By Me ».
Ou ils regardent simplement « Stranger Things » depuis le début. Après tout, vous pouvez toujours découvrir de nouveaux détails dans cette série de nerds sur les nerds pour les nerds, qui se déroule dans un monde des années 1980 entre Spielberg et Cronenberg. Jusqu’à présent, il y a eu trois saisons, un total de 25 épisodes, qui sont un mélange curieux et grandiose d’une collection de citations de films, d’un hommage aux années 80 et d’une heure effrayante. Si vous n’êtes pas trop gourmand et ne rationnez pas la consommation d’épisodes, vous pourrez peut-être même combler le temps jusqu’au début de la quatrième saison. (arme à feu)
► Samuel L. Jackson a-t-il déjà été aussi bon ? 6f5d3r
Les derniers jours de Ptolémée Gray 4v2f2n
Vu sur Apple TV+
Qui est qui? Où est autre chose ? Qu’est-ce qui vient juste de se er? Qu’est-ce que tu racontes? Alors ça continue de tourner dans la tête de Ptolemy Grey. Le vieil homme qui vit dans une cabane messie encombrée est toujours en bonne forme physique, mais il souffre d’une maladie d’Alzheimer qui progresse rapidement. Dans la série en six parties « Les derniers jours de Ptolemy Grey », il fait partie d’une expérience médicale. On lui donne un médicament qui restaure brièvement sa clarté mentale et tous ses souvenirs. Après cela, il tombera finalement dans l’oubli. Joué par Samuel L. Jackson, Gray utilise le temps pour retrouver le meurtrier de son maître et se réconcilier avec son é.
Le livre est basé sur l’auteur afro-américain Walter Mosley, dont les grandes histoires criminelles d’Easy Rawlins documentent le racisme quotidien et racontent les luttes pour les droits civiques. Dans la série, le thriller est un chouette numéro annexe, il s’agit de la brutalité quotidienne d’une maladie, de la pénibilité du vieillissement, de l’éternel combat pour la dignité. Les critiques américains ont salué Ptolemy Gray comme la meilleure performance de la longue carrière de Jackson. Eh bien possible, mais définitivement : sacrément proche de la perfection. (tkl)
► Existe-t-il encore des thrillers d’espionnage classiques ? 6g45j
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Vu sur Amazon prime
Une opération antiterroriste qui a mal tourné, des agers d’avion morts sur la piste, une taupe au sein de l’organisation : des années plus tard, l’agent modèle Henry (Chris Pine) est censé clarifier ce qui s’est é à l’époque. Tous les ex-collègues sont visés, y compris le misanthrope Bill (Jonathan Pryce) et aussi Celia (Thandiwe Newton), avec qui Henry a eu une histoire d’amour brutalement terminée.
Le documentariste danois Janus Metz Pedersen a fait ses armes dans la fiction avec la série « True Detective » et le long métrage dramatique « Borg/McEnroe ». Maintenant, il réalise un thriller d’agent astucieux et à l’ancienne comme « Spy Game » (2001) ou « Dame, König, Ace, Spion » (2011). Rien n’est ce qu’il semble – quelque chose qu’Henry doit apprendre particulièrement péniblement.
La confrontation, une longue séquence de clôture dans un bar au coucher du soleil à Carmel, en Californie, appartient entièrement à Pine (« Star Trek ») et Newton (« Westworld ») – et les deux offrent un excellent cinéma d’acteur. (Ha)
► Envie d’un peu de nostalgie du Swinging London ? 343a28
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A voir dans la médiathèque ZDF
Le propriétaire d’une boîte de nuit londonienne, Paul Raymond, le protagoniste de The Look of Love, a réellement existé. Dans les années 1960, il est devenu éditeur de livres sexuels et roi de l’immobilier. Vous pourriez certainement en faire une étude sociale mordante, mais le réalisateur Michael Winterbottom a opté pour une étoile montante.
Le crime organisé percutant auquel Raymond s’est attaqué dans sa version rouge de Swinging London s’est estompé. Au lieu de cela, les idéaux d’une ère de nouveaux départs sont célébrés dans une grande interaction de musique, d’équipement, de caméra et d’acteurs (très génial : Steve Coogan dans le rôle de Raymond) – libération sexuelle, nouvelles opportunités pour ceux qui étaient auparavant exclus, participation à la prospérité. Si vous ne confondez pas « The Look of Love » avec la réalité, ce qui ne devrait pas arriver avec les films d’Edgar Wallace ou la série « Austin Powers », vous pouvez vous am ici. (tkl)
► Les drames sociaux peuvent-ils être drôles ? 6r616i
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Vu sur Disney+
Samantha (Sofia Black-D’Elia) est au plus bas à 28 ans : parce qu’elle trébuche toute la journée en buvant de la vodka par l’intermédiaire de l’agence de New York et qu’elle manque des réunions, elle est licenciée – et fait toujours l’objet d’un procès pour voies de fait. Avec un casier judiciaire, elle retourne chez sa mère à Boston pour une cure de désintoxication, où les fantômes du é l’attendent.
Avec un timing perfide, Simone Finch révèle en amuse-bouche quel enfer cette nouvelle vie doit être non seulement pour les alcooliques mais aussi pour les accros du sexe et de la fête. Les rechutes et les traumatismes non résolus leurrent partout, plus qu’un travail au supermarché n’est pas envisageable pour l’ancien super élève.
C’est dérangeant, embarrassant, mais hilarant, surtout quand l’agent de libération conditionnelle serein se présente ou la mère égocentrique de Samantha (Ally Sheedy). La force de la série est sa proximité inconfortable avec la vie : aussi divertissante qu’obsédante, elle montre ce que signifie l’alcoolisme et combien peu de secteurs de la société peuvent y faire face. (Ha)
SOURCE : Reviews News
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