✔️ 2022-10-29 17:01:13 – Paris/.
À l’heure actuelle, Dwayne Johnson est l’une des stars qui représente le mieux l’état convulsif dans lequel vivent les stars de cinéma modernes. Son ambition va bien sûr au-delà du cinéma, il veut établir une marque mondiale omniprésente. Pour lui, votre image est aussi lisse que possibleen choisissant des films et des rôles assez blancs qui diffèrent des risques pris dans le é (il n’y a aucun moyen qu’il fasse quelque chose comme « Southland Tales » maintenant).
Même un film comme « Black Adam », avec un personnage défini comme étant un méchant/anti-héros et vendu comme particulièrement extrême et violent, finit par être dépourvu d’aspects controversés de sorte qu’il ne ressemble à rien d’autre que Dwayne Johnson. Et le plus drôle, c’est qu’il n’y a pas si longtemps, il a pu risquer un peu plus et proposer quelque chose avec un peu plus de complexité et d’intérêt. C’est le cas de l’un de ses meilleurs projets, la série ‘Ballers’.
La balle est dans ton camp 2bq
Sur HBO Max, vous pouvez trouver ce drame sportif particulier, produit par HBO lui-même en toute confiance envers les producteurs de ‘Entourage : The Entourage’, une série avec laquelle de nombreuses comparaisons peuvent être faites dans le ton et le style. Peter Berg et Johnson sont parmi les producteurs de ce Regard intéressant sur les entrailles de l’industrie sportive américaine.
La Roca joue un ex-footballeur qui fait le transition vers agent sportif, maintenant toujours des liens avec la NFL et le football professionnel. Il essaiera de travailler dans une agence avec un autre agent de premier plan (Troy Garity) et un conseiller financier (Rob Corddry), et nous suivrons également un autre athlète à la retraite (Donovan W. Carter) à la recherche d’un nouveau but, comme ainsi qu’un autre footballeur actif (John David Washington) qui est un canon lâche.
Sans être particulièrement cinglant, puisqu’il opte pour un format léger avec 30 minutes par épisode et un ton désinvolte et « crapule » par moments, ‘Ballers’ s’avère être divertissant mais aussi intéressant pour la façon dont il met le doigt sur le point sensible dans certains problèmes du sport professionnel. Surtout quand il s’agit de football, avec des athlètes non vedettes à la recherche d’un endroit où s’installer, des problèmes de blessures (surtout des commotions cérébrales) et une vie plus tard qui finit par révéler des étapes de douleur et d’addictions.
‘Ballers’ : excentriques et énergiques 46396u
Le personnage de La Roca est essentiel pour les moments où il décide de devenir plus dramatique et plus énergique pour atterrir. Johnson obtient un bon travail de lui-même pour faire le contradictions et complexités d’un personnage qui traîne les échecsqui finit par aller dans des endroits sombres.
Mais il sait aussi tirer parti de son charisme personnel pour que le protagoniste ne soit pas complètement inconscient du reste de la série et puisse aussi se faire plaisir. La série nous plonge aussi dans certains excès, dans des moments bizarres plausibles dans le monde du sport d’élite.
Sans avoir besoin d’aller à l’extrême de la grandeur, ‘Ballers’ est une série bien dosée et consciente de ce qu’elle recherche, qui amuse et tente parfois d’apporter des nuances ou de signaler des problèmes au niveau de l’industrie pour ne pas tomber. dans la monotonie. Il est de ce que Johnson a fait de mieux dans tous les domainesen tant qu’interprète et en tant que créateur.
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SOURCE : Reviews News
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