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« Oui, Amsterdam telle que vous la connaissez n’existait pas à l’époque. Derrière la gare principale, il y avait de la prostitution de rue, des zones résidentielles entières étaient délaissées. Le coke s’échangeait ouvertement sur le barrage. Et si vous ne trouviez pas d’appartement, vous squattiez une maison. Oui, jusqu’à ce que le propriétaire envoie une équipe pour expulser les squatters avec des matraques. Mais j’habitais en périphérie. À des années-lumière d’où ça s’est é. » C’est ce que nous raconte l’étudiante Marly (Joy Delima) en introduction de la série « Dirty Lines » (Netflix, déjà streamable) de Pieter Bart Korthuis. Ce qui semble assez dépri pour une série sur le spectre de la comédie. Et la première scène devrait également faire monter les larmes aux yeux de nombreux téléspectateurs.
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Parce qu’un homme visiblement désespéré avec une moustache hésitante des années 80 conduit une Ferrari sur le bord du bassin portuaire. Le Super Ride rouge ardent est suspendu dans les airs pendant un moment, mais nous savons ce qui se e, et c’est à ce moment-là qu’il glisse hors de vue. éclabousser et loin. Frank Stigter, l’entrepreneur en télécommunications qui a fondé la première hotline sexuelle aux Pays-Bas avec son frère Ramon, n’est évidemment plus du côté de la chance. Bien sûr, vous voulez savoir comment la voiture a été coulée. Et donc vous êtes déjà sur le crochet de cette série.
L’héroïne se libère d’une famille conservatrice 302162
Leur véritable héroïne est Marly. La jeune femme veut sortir à la nage de la maison où une mère stricte a à la fois le père et la fille sous sa pantoufle. Tu ne peux pas rester loin aussi longtemps, et tu ne peux certainement pas ramener un garçon à la maison avec toi. Le sexe est pour la procréation seulement et n’a aucun plaisir à être. Basta !
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L’étudiante Marly doit finalement déménager car elle gagne un peu d’argent avec des « histoires » et la télévision l’a filmée en train d’enregistrer une sex tape dans une cabine de la société fictive Teledutch de Frank et Ramon. C’est ainsi que sa vie commence.
Marly continue de s’adresser directement au spectateur 5e5j4c
Et donc cette comédie sur la pornographie (audio) continue. Dans lequel Marly arrache à plusieurs reprises le quatrième mur au spectateur et au spectateur dans le style de « Modern Family », par exemple en roulant des yeux au milieu de l’acte, en commentant l’autoréflexion masculine pendant le coït ou en rappelant le niveau de connaissance d’Eros il y a 35 ans.
Des phrases comme : « La libido est une théorie de Freud. Mais aucune recherche n’a jamais prouvé qu’il existe vraiment un instinct primal qui oblige les hommes à chasser. Eh bien, que puis-je dire, nous sommes en 1987. Une époque où les scientifiques pensaient encore que le clitoris était un petit pois. Même si c’est le sommet d’une pyramide géante. » Ils descendent comme du pétrole. L’actrice Delima a une rubrique « Sex with Tante Joy » sur Instagram et écrit également sur le sujet pour le quotidien amstellodamois « de Volkskrant ».
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Frivole est stupide? Restez à l’écoute quand même ! 216fh
Cunnilingus, fellation, sexe A-tergo et bien plus encore sont plus qu’évoqués dans cette adaptation cinématographique du livre « 06 Cowboys » de Fred Saueressig – vous devez être clair à ce sujet. Le langage est toujours explicite et le cliché selon lequel les femmes sont toujours extatiques et bruyantes pendant les rapports sexuels – sinon la pornographie audio ne serait pas devenue un best-seller – est presque mort. Quiconque pense que les choses frivoles sont stupides ne devrait pas s’arrêter tout de suite à une soirée alternative.
Succès avec le porno audio : Ramon (Chris Peters, de gauche à droite), son frère Frank (Minne Kool), Nina (Laura Bakker) et Marly (Joy Delima).
©Source : Netflix
Parce que l’histoire « de la misère à la richesse et au retour » prospère grâce à son personnel en grande partie adorable. De l’éternel indécis Frank (Minne Koole), qui achète deux voitures de sport après être devenu père – et aucune d’elles ne convient à un siège bébé. Et à propos de son petit frère Ramon (Chris Peters), qui ne peut coucher avec sa femme que s’il regarde des photos de mecs sexy.
Et de femmes comme Marly, Janna (Julia Akkermans), Nastasja (Charlie Chan Dagelet) et Anoek (Abbey Horns), qui sortent des sentiers battus, où les mecs nagent dans la soupe, qui sont ou seront adultes et s’émancipent d’eux Des hommes dont le succès aux 300 files d’attente leur monte à la tête, dont les idées commerciales deviennent de plus en plus grossières, qui sirotent du champagne dans des bordels et perdent de vue la réalité. Alors que la concurrence des télécommunications à Rotterdam ne dort jamais.
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Dans le même temps, les années quatre-vingt renaissent – dans leurs vêtements et leurs coiffures, lors de la célèbre victoire des Pays-Bas contre la République fédérale d’Allemagne (2:1) en demi-finale du Championnat d’Europe – important « non seulement à cause de la guerre mais aussi à cause de la finale perdue de la Coupe du monde en 1974 » (son original Mary). On entend parler de l’essor de la house music (sauf aux Pays-Bas), de l’ecstasy et du sida. Le é devient présent.
Pour revenir à la Ferrari 42n67
La Ferrari est une Testarossa. Bien que cela signifie littéralement « Redhead, Little Red Riding Hood » (et fait référence aux couvercles de soupapes peints en rouge du moteur 12 cylindres), cela ressemble au nom de modèle le plus masculin de l’histoire de l’automobile.
Et ainsi au début de « Dirty Lines » la masculinité pure est coulée.
« Lignes sales » six épisodes, de Pieter Bart Korthuis, avec Joy Delima, Minne Kool, Julia Akkermans, Chris Peters (sur Netflix).
SOURCE : Reviews News
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